Source : la corbeille de fruits rouges... ou les chroniques d une celibataire desabusee ...
A dieu toi qui a compté dans ma vie… A dieu toi qui m’a tant appris… A dieu toi qui a su me dire ces mots… A dieu toi qui m’a appris à cuisiner… A dieu toi qui m’a appris a dansé… A dieu… Tu es partie cette nuit là sans souffrir. Tu laisses un vide derrière toi. Maintenant ne restent que les souvenirs, les bons et les mauvais. Maintenant, je sais que tu es libérée de cette enveloppe qui t’emprisonnait. Je me souviens de ce moment ou j’avais croisé ce regard perdu et effrayé. Tu le savais, je le savais. Ce regard je ne l’ai pas supporté. Tu n’étais plus toi, tu n’étais plus celle que j’avais connue. Ou peut être avais je découvert ce jour là une facette de toi que tu nous avez caché. Tu laisses ce putain de vide derrière toi. Mais je sais que tu les as rejoint. Je sais que tu as rejoins ton pedro, tes mimis, et tout ceux qui ont fait celle que tu étais et qui sont partit avant toi. Pense à embrasser de ma part ceux qui sont partit l’an dernier et l’année d’avant. Dis leur qu’ils me manquent eux aussi et que je sens leur présence derrière moi, mes étoiles qui veillent sur moi et qui me guident. Je sais que quand mon heure sera venue je vous rejoindrai. Tu es partie sans souffrance physique. Ton heure était venue. Ce lundi ce sera la dernière fois ou on te dira au revoir. On sera tous réunit pour te pleurer. Je te dis rendez vous là bas quand mon heure sera venue. Et je vous retrouverai tous ceux que j’ai connu et ceux que je n’ai jamais croisé mais dont tu m’as parlé. J’ai du mal à rédiger cet article et je vais m’arrêter. Je pense à toi… j’ai toujours pensé à toi et je ne t’oublierai pas.