Source : Aymerica-Bourg-de-péage
Pour ceux qui me connaissent bien je parle de mes amis pas de ma famille savent que je suis un garçon bien sous tout rapport. Cependant dès qu'approche le week end je me "transforme" cf cet article notamment. J'ai écrit pas ce post pour savoir qui est le plus con, le plus tête brûlé ou bien encore le plus trash mais seulement parcequ'hier on m'a fait une remarque à un entretien d'embauche qui vaut son pesant de cacahuète, j'y reviendrais. Faisant pale figure en face des mes deux Julien & Allan, j'ai quand même ces derniers temps bien animés les soirées aux razzmatazz, be good, plataforma et autres kaya (parait il). Je pense être un bon trop bon vivant, bien qu'effectivement ces derniers temps j'en garde pas mal sous lecoude pour cause de restriction budgétaire et de relative autorité parentale. Je reviens donc à mon entretien d'hier, ces derniers se finissent toujours par la formule avez vous des questions? Ne manquant jamais de culot (certainement la petite faiblesse qui me sera fatale un jour), je dégaine un, Je vous ai plu? Réponse, oui mais vous êtes pas assez souriant (je le sais) et surtout vous êtes trop sérieux M. Bonnard pour un jeune homme de votre âge, pourquoi n'êtes pas vous resté à Barcelone pour vous amusé? J'étais scotché, je savais pas quoi répondre. Moi qui croyait qu'il y avait un temps pour tout. Promis juré si ils me prennent je débarque en perfecto, pantalon cigarette et victoria, ciao le costume Manoukian. Non mais merde c'est pas tout le monde qui dans un bar de 800 personnes danse sur la table ensencer par ces mêmes 800, qui dansent sur le toit d'une bagnole avec les flics en bas, qui dansent dans le métro à 6h du mat en pensant qu'il s'agit d'une plage nudiste! Je m'auto proscrit d'en raconter d'avantage. J'étais dépité, je suis très autocritique, pour qui que ce soit c'est jamais facile d'accepter les remarques et de se remettre en cause, c'est pourtant quelquechose que j'accepte assez facilement, mais là pour le coup j'ai du mal. Je voyais les choses plutôt comme ça « Les dieux ne sont pas à craindre (existent ils?) ; la mort ne donne pas de souci (idem) ; et tandis que le plaisir est facile à obtenir (je confirme), la douleur est facile à supporter (avec une bouteille de vodka). » Unitile de préciser que ce n'est pas de moi mais de Diogène D'Oenanda. Allez je dédie cette chanson de Franz Ferdinand à cette recruteuse qui malgré tout est très sympathique.